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Dans cette obscurité étouffante, le silence est pesant, seulement troublé par mes gémissements et les bruits étouffés de mes sanglots. La douleur est partout : mes tétons sont en feu étirés à se déchirer, mes testicules broyées me lancent à chaque souffle, et ce plug immense enfoncé dans mes entrailles semble vouloir me déchirer de l’intérieur. La tension sur mes bras et mes épaules est presque insupportable, mais je n’ai pas le choix. Je suis totalement à sa merci, incapable de m’échapper de ce cauchemar de douleur et d’humiliation. Mes chaînes sont surtout dans ma tête, je ne songe pas à m’enfuir, ni même à résister, je suis sur un toboggan, je ne sais même pas si je l’ai souhait »é vraiment. Là je ne suis pas honnête, je l’ai toujours fantasmé, mais aussi fort et violent? Sans aucun contrôle?
Je ne sais pas combien de temps passe, mais il me semble que des heures se sont écoulées. La souffrance devient une compagne familière, une ombre qui me hante sans relâche. Je commence à sombrer dans un état second, une sorte de transe où la douleur devient abstraite, un murmure constant qui ne peut plus m’atteindre. Mon corps tremble de fatigue et de terreur, mais mon esprit flotte ailleurs, hors de cette pièce, hors de cette nuit interminable.
Enfin, j’entends des bruits de pas dans l’escalier. Olga revient, ses talons claquent sur le sol en pierre. La lumière s’allume brusquement, m’aveuglant. Elle s’approche de moi, un sourire cruel aux lèvres. Elle est toujours aussi nue et sculpturale, malgré ma fièvre et ma terreur, je la trouve tout simplement magnifique. J’aimerais me jeter à ses pieds et ramper pour son plaisir, l’implorer et la vénérer.
• Tu es toujours en vie, chienne? (Sa voix est moqueuse, presque amusée, pleine de mépris.)
Je tente de répondre, mais aucun son ne sort de ma bouche desséchée. Mes lèvres sont gercées, et j’ai du mal à formuler une réponse cohérente. Olga s’accroupit devant moi, son regard glacial fixé sur le mien. Je suis subjugué par la beauté de ses obus, la puissance qui se dégage d’elle.
• Parfait. J’aime voir cette lueur de désespoir dans tes yeux. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est que le début. Dès que je t’ai vu rentrer dans le club, j’ai dit à Alexander que je voulais, pour te briser, et jouir de ta totale déchéance.
Elle se lève brusquement et tire sur la corde qui maintient mes bras en l’air, me forçant à me redresser douloureusement sur la pointe des pieds. Mon corps proteste, mes muscles hurlent de fatigue, mais je sais que toute résistance serait inutile, voire pire. Je n’y pense en fait pas vraiment.
Olga saisit une cravache et commence à frapper mes cuisses, méthodiquement, sans hâte, comme si elle testait leur résistance. La douleur est vive, coupante, et chaque coup résonne dans mes os. Elle joue avec ma peau, la martelant encore et encore, jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Mes jambes faiblissent, mais je parviens à rester debout, m’appuyant sur la corde qui me tient encore suspendu.
Puis, sans avertissement, elle passe derrière moi, s’emparant de mes cheveux, tirant ma tête en arrière avec une brutalité maîtrisée. Je sens son souffle sur ma nuque, son excitation palpable.
• N’oublie jamais que tu es à moi, entièrement à moi.
Je suis perdu, est-ce que Louise m’a abandonné? Cela étant je sens bien à cet instant à quel point je suis à elle, comme jamais je n’ai osé espérer être à Louise. Elle relâche ma tête et se dirige vers une table où sont alignés divers instruments de torture. Je n’ose même pas imaginer ce qu’elle va choisir ensuite. Mon corps est une plaie vivante, mais mon esprit est encore accroché à une lueur de résistance. Je ferme les yeux un instant, cherchant un refuge mental, un endroit où je pourrais m’échapper de cette réalité infernale.
Mais il n’y a nulle part où fuir. Pas de répit, pas de fin en vue. Juste Olga et son sadisme sans limite, et moi, son jouet, son esclave. Je n’arrive pas à faire vivre une image de Louise, un moment de bonheur et de quiétude, mon esprit s’enfonce doucement.
Elle revient avec une aiguille fine et longue, la tenant devant mes yeux pour que je voie bien. Mon cœur s’emballe, la panique monte, mais je ne dis rien. Elle se penche vers moi et murmure doucement, presque tendrement :
• Tu vois, ce n’est que de l’acupuncture… pour l’âme.
Puis, lentement, méthodiquement, elle commence à insérer l’aiguille dans la peau de mon téton gauche déjà torturé, derrière la barrette de six millimètres étiréées par la spirale. La douleur est insupportable, un pic incandescent qui traverse tout mon corps. Je veux crier, mais aucun son ne sort de ma bouche. Mes yeux s’embuent de larmes, mais Olga rit doucement.
• Oh, ne t’inquiète pas… nous avons toute la nuit.
Je ferme les yeux et laisse la douleur m’emporter, me refusant de penser au lendemain. L’aiguille est pointée vers mon téton droit qui subit la même pénétration et torture, mes seins sont une source de souffrance qui semble inépuisable. Malgré trabzon escort l’épuisement, ou bien à cause de lui, je sens mon sexe gonfler dans sa cage bien trop étroite, ce qui fait rire ma tortionnaire, bien consciente de ce que je ressens. Je n’ai aucun pouvoir sur Olga, qui elle a tous pouvoir et entend bien l’exprimer.
Le lendemain, je suis réveillé par un coup de pied brutal dans les côtes. Mes yeux s’ouvrent en sursaut, cherchant désespérément à comprendre où je suis. Olga se tient devant moi, toujours vêtue de son allure impérieuse et sans aucun vêtement, le regard sévère. Elle semble s’être levée tôt, prête à poursuivre sa quête de domination. Je n’ai même pas la chance qu’elle ait voulu dormir tard ce jour-ci.
— Debout, chienne, grogne-t-elle avec un ton sec. Aujourd’hui, je vais vraiment tester tes limites. J’avais trop hâte de me réveiller, j’ai pensé à tant de choses pour toi, mais je n’aurais pas le temps pou tout, enfin aujourd’hui. Je me demande si ta femme va vouloir te récupérer, tu es un tel déchet!
Je tente de me redresser, mais mon corps est engourdi par la douleur de la veille. Mes bras, encore suspendus au plafond par des chaînes, me brûlent aux épaules. Olga, impatiente, tire brusquement sur les chaînes, me forçant à me mettre debout, mes jambes tremblantes sous l’effort. Je réalise difficilement ce qu’elle vient de me dire. Est-ce possible? J’ai besoin de me raccrocher à n’importe quoi, et Olga, fort sadiquement, m’enlève la seule planche de salut que j’ai, que ma Maîtresse vienne me récupérer et me ramener à la maison pour me dorloter.
Sans précaution particulière, elle enlève les aiguilles insérées pendant la nuit, détend puis enlève les cônes mis en place pour étirer mes tétons, je me sens incroyablement soulagé. C’est au tour de mes couilles d’être desserrées de leur étau, je ne peux contrôler un tremblement de mes genoux, terrible, et je m’effondre en larmes, sans rien y comprendre, alors que je suis enfin soulagé de cette douleur aussi insupportable que terrifiante pour les conséquences qu’elle peut annoncer.
— Tu pensais que la nuit serait le pire, hein? Attends de voir ce que j’ai préparé pour toi aujourd’hui. Ta Maîtresse vient ce soir dîner, il me reste quelques heures pour te briser et te détruire. Cela va être intense, tu vas adorer j’en suis certain. Elle m’a dit que tu la tannais depuis des années, que tu te plaignais que toutes les femmes étaient bien trop soft et que tu voulais t’offrir pleinement. C’est pour moi et moi seule que tu va t’offrir aujourd’huin, mais ce n’est pas comme si tu avais le choix, tu n’en as aucun, juste subir.
Elle s’empare d’un fouet long et fin qu’elle fait claquer dans l’air. Le son résonne dans la pièce, comme un coup de tonnerre dans une chambre d’écho. Mon corps se crispe d’anticipation et de terreur. Elle commence par des coups rapides, précis, dansant autour de moi, chaque frappe brûlant ma peau à vif, dessinant des stries rouges sur mon dos et mes cuisses. Je hurle malgré moi, sentant la peau se fendre sous la violence du fouet.
Mais ce n’est que le début. Olga pose le fouet et prend une aiguille longue, comme celle qu’elle avait utilisée la veille, mais bien plus épaisse. Elle approche lentement, jouissant de ma panique visible. D’une main ferme, elle saisit mon téton gauche, déjà meurtri, et y enfonce difficilement l’aiguille lentement, sans précipitation. La douleur est aiguë, foudroyante, et je me tords sur place, cherchant désespérément à échapper à l’agonie. Elle exprime sa jouissance, son plaisir profond à me perforer ainsi.
— Tu vas apprendre à obéir parfaitement, déclare-t-elle d’une voix calme, presque douce, comme une promesse d’un enfer plus profond encore. Je vais t’entraîner à supporter ce qui semble insupportable. A me l’offrir.
L’autre téton subit le même sort, je regarde ces aiguilles énormes s’enfoncer derrière mes barrettes sanguiolentes. Je la vois prendre un briquet, incrédule elle l’allume et l’approche d’une extrémité de l’aiguille de mon téton gauche. La chaleur se diffuse agréablement, puis devient insupportable à l’intérieur de ma chair, la fumée puis l’odeur s’en dégage, je hurle, je tente d’échapper, je suis à l’agonie, mais elle n’arrête pas, tirant juste plus fort sur les chaînes pour que je bouge moins. Pour la première fois, je la vois se caresser, jouissant de mes contorsions. Le téton droit n’y échappe pas, mes hurlements se tarissent, je n’ai plus d’énergie, et je coomprends enfin qu’il n’y a aucune autre voie, je m’abandonne, j’accepte, mon esprit s’est effondré, je me sens d’un coup pleinement connectée à l’âme maléfique qui me possède. Et sans même que je le réalise je lui murmure :
– Je suis tout à vous, merci de me traiter comme je le dois.
– Oui sans aucune limite, tu es juste un déchet de l’humanité. Tu n’es même pas digne de bouffer ma merde!
Elle sort alors une série de grosses pinces métalliques aux mâchoires impressionnantes et commence à les tunceli escort fixer le long de mon corps, chacune étant reliée à une chaîne. Le moindre mouvement les resserre davantage sur ma peau, créant une tension et une douleur supplémentaires. Elle attache une corde autour de mes testicules, déjà gonfl de douleurées par la nuit, et commence à tirer doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je hurle de douleur. Elle ne s’arrête pas là.
— Tu vas marcher avec ça tout le jour, dit-elle, attachant la corde à une poulie au plafond, m’obligeant à rester sur la
pointe des pieds. Si tu fléchis, la corde tirera encore plus fort. Tu verras d’ici peu tu me supplieras en pleurant de te couper les couilles, que tu ne puisses plus souffrir par là, mais il en faudra bien plus pour que j’accepte. Cela étant, j’adore cela, prendre un scalpel, ouvrir la bourse, extirper la couille reliée par son long fil, tout cela sous les hurlements de mon supplicié, le laisser là de longues, heures, pendant que je joue avec ses boules, avant de lui passer le scalpel et qu’il se coupe lui-même pour espérer diminuer la souffrance.
Cette femme me terrorise, je crois tout ce qu’elle dit, surtout j’imagine qu’elle l’a déjà fait maintes fois! Je suis obligé de rester immobile, dans une posture insupportable, mon corps tendu comme un arc vers le plafond. Olga, amusée, passe derrière moi et commence à me fouetter à nouveau, lentement, méthodiquement, en savourant chaque cri, chaque spasme de mon corps.
— Je veux te briser totalement aujourd’hui, murmure-t-elle à mon oreille, son souffle glacé contre ma peau. Te réduire à rien. Faire de toi un êrte craintif, terrorisé, en pleine vénération, car je veux que tu m’adores, me désire, fasse de moi ta Déesse éternelle, à qui tu offriras toutes tes souffrances avec bonheur. Que tu me supplies de te chier dans la bouche, de t’écraser de mes talons, de lécher les traces de mes pas sur le sol.
Elle me laisse dans cette position, en suspension, attaché par mes testicules, les pinces mordant ma chair, pendant ce qui me semble être des heures. Je songe à peine à mon cul, je le pense perdu à jamais avec cet engin monstrueux en moi. Chaque mouvement, chaque tentative de relâcher la tension m’entraîne dans une nouvelle vague de douleur. Olga revient de temps en temps, me fouettant davantage, me murmurant des humiliations à l’oreille, jouant avec ma peur et ma douleur. Ell semble pleinement remplie de ma souffrance, rayonnante, enjouée, noire pourtant.
Quand elle revient pour la dernière fois, elle s’assoit devant moi, ses yeux brillant d’une intensité perverse.
— Maintenant, chienne, c’est le moment de vérité.
Elle sort un petit couteau et, sans prévenir, commence à gratter la peau autour de mes tétons, déjà distendus et marqués par les aiguilles. Elle joue avec le couteau, effleurant mes flancs, caressant mon ventre d’une lame froide, sans appuyer mais suffisamment pour faire monter la peur. D’un mouvement rapide elle trace trois lignes sur chacun de mes bras, la brûlure apparaît avec le sang qui coule, fascinant.
— Est-ce que tu veux vivre, chien? me demande-t-elle, un sourire cruel aux lèvres. Tu devras tout endurer, tout accepter. La vie qui t’attend est bien pire que les pauvres fantasmes que tu as pu avoir, un être comme toi doit chaque jour souffrir un peu plus, s’enfoncer un peu plus, perdre totalement l’esprit pour enfin fusionner avec sa propriétaire, devenir son troisième bras, ne plus avoir aucune autonomie.
Je n’ai pas la force de répondre. Toute ma volonté est concentrée sur le fait de ne pas perdre conscience, de rester debout malgré l’insupportable douleur qui me ronge.
Olga se relève, satisfaite de mon silence, de ma soumission totale. Elle s’éloigne, me laissant encore une fois suspendu, enchaîné à sa merci. Le jour vient à peine de commencer, et je sais que mon calvaire ne fait que débuter. Il n’y a aucune compassion possible.
Le temps passe lentement, chaque seconde étirée comme un supplice sans fin. Mes muscles tremblent, mon corps entier est tendu, retenu par cette maudite corde qui tire sans cesse sur mes testicules. La douleur est devenue un chant lancinant qui envahit tout mon esprit. Olga se délecte de ce spectacle, assise tranquillement devant moi, les jambes croisées, un sourire froid au coin des lèvres. Je n’ai d’yeux que pour elle, pour ses seins majestueux, son corps d’une densité exceptionnelle.
Quand je la vois revenir changée, avec une large brassière serrant fortement ses seins, une culotte noire remontant sur ses hanches, des chaussures souples noires également, et surtout, des gants de boxe aux mains, je crains le pire. Elle est venue faire son entraînement quotidien de boxe française et je suis son punching ball! Elle ne prend pas la peine de préliminaire ou d’explication : je prends un coup de pied en pleine figure qui m’assome à moitié, suivi de coups de poing dans l’estomac, le flanc, je perds ma respiration. uşak escort Mais elle n’arrête pas, remplie d’une énergie inconcevable, elle me bat pendant près d’une heure. Le pire c’est que je sais qu’elle mesure ses coups, car certains sont nettement plus forts, mais rares. Mon corps est cassé de partout, elle repart comme elle est venue sans un mot, parle-t-on à son sac de sable?
— Tu vois, chienne, tu es déjà plus docile ce matin, remarque-t-elle après s’être douchée et couverte d’une tenye de catwoman en spandex. Mais tu n’es pas encore brisé, pas encore assez à mon goût. Tu te dis que tu ne peux pas être plus abandonné, mais je sais que si tu dormais quelques heures, ta combativité et ta bêtise reviendraient, il faut te changer ainsi en profondeur, longuement, que ton cortex soit remodelé. Il n’est pas question de diminuer avant de longs mois!
Elle se lève avec une lenteur calculée, puis s’approche d’une étagère où sont rangés divers instruments, chacun plus effrayant que le précédent. Elle en choisit un que je n’ai jamais vu auparavant : une sorte de bâton métallique terminé par une pointe fine et courbe. Elle s’amuse avec, le faisant tourner entre ses doigts, tandis que je sens ma gorge se serrer de panique. Je n’aime pas cela. Je n’aime pas ce qu’elle vient de me dire. Louise m’a-t-elle abandonné? Est-ce un jeu?
— Tu vas adorer ce que j’ai en tête pour toi, dit-elle doucement, en s’approchant de moi, un éclat de malice dans les yeux.
Sans un mot de plus, elle glisse l’extrémité du bâton contre ma peau, à hauteur de mes côtes. Une décharge électrique parcourt mon corps entier, me faisant sursauter violemment. Je hurle, incapable de retenir ma réaction. Le bâton est un dispositif de choc, et chaque contact envoie une onde de douleur à travers mes nerfs déjà en feu.
— Sens-tu cette énergie? demande-t-elle, avec une pointe d’ironie dans la voix. Chaque coup de fouet, chaque tension, n’était qu’un avant-goût.
Elle continue à appuyer le bâton électrique à divers endroits, variant la durée et l’intensité des chocs. Chaque décharge me fait tressaillir de manière incontrôlable. Je perds peu à peu toute dignité, mon corps dansant sous l’effet des spasmes douloureux. Olga s’amuse avec mon désespoir, s’arrêtant parfois pour observer les marques rouges laissées par les décharges sur ma peau. Mes couilles sont à l’agonie, parfois brûlées elle-même directement, mais chaque soubresaut les tire encore plus, mes jambes fléchissent, mon poids dessus est de plus en plus écrasant.
— Tu es si beau quand tu souffres, soupire-t-elle. Je pourrais te regarder toute la journée. C’est ce qui m’a plu quand je t’ai vu hier soir pour la première fois. Je savais que tu exprimerais toute ta beauté dans la souffrance la plus pure. Tu n’es pas un vrai masochiste, mais tu aimes offrir ta souffrance, tu aimes qu’on te prenne ta vie, tu es rempli de mon désir de te briser.
Puis elle semble se souvenir de quelque chose, et d’un coup de pied sec, elle me fait tomber au sol coupant la corde de mes couilles. Le choc est brutal, mais un bref soulagement se mêle à la douleur alors que la corde autour de mes testicules se desserre. Ce répit est de courte durée, comme toujours, car Olga se penche rapidement sur moi et m’attache les poignets et les chevilles ensemble, me pliant en deux. Je suis désormais dans une position fœtale, totalement vulnérable.
— Maintenant, passons aux choses sérieuses, murmure-t-elle.
Elle sort une série d’aiguilles, plus longues et plus épaisses que celles de la veille. Elle les insère lentement dans la chair de mes cuisses, juste sous la peau, créant une ligne de souffrance le long de mes jambes. La douleur est vive, perçante, et chaque mouvement rend leur présence encore plus insupportable. Mes hurlements sont à peine humains, mon corps tremble d’effroi, elle est capable de tout.
— Tu n’as pas encore compris combien je peux te faire souffrir, continue-t-elle d’une voix douce mais implacable. Je veux que tu cries pour moi. Je veux enfin pouvoir jouir de ta déchéance, nous en sommes encore loin.
Elle accentue sa torture en remuant légèrement chaque aiguille, les faisant tourner dans ma chair. La sensation est atroce, un mélange de brûlure et de déchirement. Mon corps se contracte et se tord, mais je suis incapable de m’échapper de cette douleur qui me transperce. Pour la première fois je doute de sortir indemne physiquement de cette journée, psychologiquement, je sais que je suis foutu.
Elle passe alors à mes tétons, déjà meurtris et gonflés, avec de nouvelles aiguilles, enfonçant les pointes de part en part, créant un réseau douloureux qui pulse avec chaque battement de mon cœur. Les barrettes sont poussées en avant, obcènes, douloureuses. Mon souffle est court, ma vision se brouille, mais je reste conscient, retenu dans cet enfer par la seule force de sa volonté et de ma terreur.
— Ne ferme pas les yeux, ordonne-t-elle. Je veux voir ta douleur, toute ta douleur.
Et puis, d’un geste vif, elle introduit une nouvelle barre de métal dans chaque téton, les écartant encore plus loin de leur base. La sensation est insoutenable, une brûlure vive, un choc de douleur pure. Je gémis, ma voix brisée ne pouvant plus qu’émettre des sons rauques et désespérés.
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